Les questions les plus fréquentes

Non, je ne suis pas conventionné pour les remboursements de l’assurance maladie. En revanche, votre mutuelle (si vous en avez une) peut prendre en charge tout ou partie de vos séances.

Le but premier d’une thérapie est de vous aider à vous sentir mieux en apprenant à vous connaitre plus profondément.

Pour ma part, j’ai passé du temps à étudier le comportement humain, la dynamique des relations sociales, nos modes de fonctionnement inconscient.

C’est vrai qu’il est généralement difficile pour une personne elle-même de prendre du recul sur sa manière de vivre les choses. De toute évidence, on a bien souvent du mal à comprendre pourquoi est-ce qu’on est en colère, triste, blessé, déprimé …  Pour y parvenir, cela aide beaucoup de se faire accompagner par un thérapeute.

Je peux donc vous aider à trouver les réponses à vos questions et vous faire prendre conscience des choses sur lesquelles vous pouvez agir.

Simplement parce que nous sommes des créatures faites d’habitudes. Il peut être difficile de se poser les bonnes questions, de sortir de sa zone de confort, de se confronter à la nouveauté. Nous avons peur de l’inconnu parce que c’est insécurisant. C’est donc beaucoup plus facile de rester bien au chaud dans son fonctionnement en évitant les remises en question. J’espère que mon site internet pourra répondre à de nombreux « inconnus » et qu’il vous permettra d’obtenir les informations que vous recherchiez.

On ne peut pas déterminer à l’avance le laps de temps pendant lequel je vous accompagnerais. En fait, c’est au cas par cas que cela s’envisage. Certaines personnes parviendront à mobiliser rapidement leurs ressources et la thérapie durera quelques semaines. Pour d’autres, cela sera plus long et le travail pourra s’étaler sur plusieurs mois.

Il est important de rappeler que se sentir mieux passe par un engagement et une régularité dans l’accompagnement.

Une séance dure autour de 45-50 min. Je suis là pour vous offrir un cadre de parole et un espace suffisamment sécurisant dans lequel vous pourrez déposer vos pensées et vos ressentis. Mon rôle est d’amener à votre conscience les éléments qui vous empêchent d’avancer et que vous avez du mal à appréhender.

Le moment où l’on décide de mettre un terme à la thérapie se décide entre vous et moi.  Ce temps arrive lorsque je constate qu’effectivement vous n’avez plus besoin de mon accompagnement, que vous arrivez seul à faire face aux difficultés qui vous gênaient. Vous pouvez aussi bien décider par vous-même de mettre un terme à notre travail car vous trouvez que le problème pour lequel vous étiez venu n’en est plus un. Vous pouvez évidemment aussi choisir de stopper la thérapie si vous estimez que je ne vous apporte rien.

Un psychiatre est un médecin, il sera donc apte à vous prescrire une ordonnance, rédiger un arrêt maladie, ou encore diagnostiquer une pathologie.

Un psychothérapeute peut être un médecin ou une personne non diplômée de la faculté de médecine ; il est spécialisé dans la thérapeutique du psychisme.

Un psychologue est un professionnel du fonctionnement psychique dans ses aspects subjectifs, affectifs, cognitifs, psychopathologiques, dans les comportements humains et la personnalité.

Un psychanalyste est un thérapeute qui aide une personne à mieux vivre avec ses symptômes. Il utilise l’exploration de l’inconscient pour tenter de résoudre les conflits qui remontent à l’enfance et qui pèsent sur le quotidien du patient.

C’est une idée reçue qui fait peur à beaucoup de monde. On se dit si je vais chez le psy c’est peut-être qu’au fond je suis fou et que c’est grave. En réalité, on n’a pas besoin d’être fou pour se faire aider. Bien au contraire, on peut simplement avoir besoin de soutien, avoir besoin de parler et d’être entendu. De même que lorsqu’on a une douleur physique, on va voir un médecin, ,quand on a des pensées ou des sentiments qui nous font souffrir, on peut aller voir un psychologue.

Il arrive que certains psychologues ou psychanalystes s’expriment peu durant les séances. Toutefois, cette particularité relève d’une prise de partie thérapeutique spécifique. C’est vrai qu’elle peut paraitre déstabilisante voire angoissante les premières fois, mais elle permet de laisser la subjectivité du patient se déployer.

Pour ma part, je ne suis pas le genre de psychologue qui reste silencieux. En revanche, il peut arriver que certains silences soient nécessaires et constructifs.